Résumé
Pour ce troisième et dernier volet de sa trilogie, Francine Allard use de son talent avec une rare intensité et plus spécialement dans sa conclusion, dans cette apogée des amours jamais oubliées, dans ce rapprochement des êtres jusque dans la mort. La persistance du romarin est une œuvre dangereuse de dénouement haletant, une fauverie dont on ne souhaite pas s’échapper, dans laquelle on préfère se laisser couler comme au fond d’un lac où la magie devient aveugle.