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« Quant à l’auteure Francine Allard, elle signait plus récemment un génial petit roman à l’intention des jeunes de 12 ans Deux petits ours au milieu de la tornade chez Vents d’Ouest. Une histoire magnifique qui réalise un tour de force. En l’occurrence, faire cohabiter harmonieusement réalisme magique, débat moral et extraterrestres en réussissant à donner en toute sensibilité la mesure de l’amour, décliné sous toutes ses formes : maternel, charnel, filial, amour entre deux sœurs, amour d’abord candide puis consommé entre Bijou et Bertrand, deux jeunes déficients intellectuels. C’est du Francine Allard grande cuvée. Dommage que les romans jeunesse n’aient pas toujours dans la presse toute l’attention qu’ils méritent…»

Dominique Charbonneau
Radio-Canada, 16 mars 2000



Rafraîchissante voix discordante


« Merci à l’équipe de La Presse de nous avoir permis de capter une voix discordante dans le désert désolant des publications jeunesse. Et merci surtout à Francine Allard d’avoir fait entendre cette voix. (…) je trouve qu’il était temps que les mots de Francine Allard viennent à la rescousse des jeunes. Ce plaidoyer en faveur de leur intelligence, de leur curiosité et de leur potentiel nous rappellera peut-être ce que nous attendions des adultes quand nous avions leur âge, notre plaisir à accéder à des mondes complexes quand nous avions la chance de croiser sur notre route un adulte qui s’en faisait le guide. (…) Le commentaire de Francine Allard soulève la très troublante question : reste-t-il quelques adultes qui ont assez de rigueur, de convictions et d’impertinence pour guider les jeunes dans le passage qui conduit de l’enfance au monde des grands ou sommes-nous tous restés dans la cour de récréation, comme des Peter Pan nostalgiques?»

Ann Lamontagne
La Presse, 18 juillet 2000



Pas si bêtes que ça!


« Lorsque Francine Allard traitait récemment dans La Presse nos pédagogues et intervenants en milieu scolaire de ratatineurs de génie, après avoir lu les livres de J.K.Rowling, c’est drôle, je me suis sentie revivre une frustration de petite fille de 3ème année. Avec l’avènement des récits d’Harry Potter, dont les enfants du primaire raffolent, on donne enfin la chance à nos petits de prouver qu’ils ne sont peut-être pas si bêtes que ça, finalement. (…) Voyant cela, j’espère que le ministère de l’Éducation révisera les contraintes qu’il impose à nos auteurs jeunesse pour qu’enfin les enfants aient accès à des livres moins insignifiants que Toto la brute de Dominique Demers.»

Judith Lussier
La Presse, 18 juillet 2000



Francine Allard, femme de tête et de cœur


« Francine llard n’a ni la plume ni la langue dans sa poche. Elle écrit comme elle parle : avec des mots parfois crus mais toujours passionnés et empreints de tendresse, des mots qu’elle savoure puis laisse s’envoler pour aller toucher l’autre, qu’il soit interlocuteur ou lecteur, des mots qu’elle lance parfois pour choquer, déranger et, qui sait, peut-être aussi, faire changer les choses.(…) Son nouveau roman Mon père, ce salaud publié chez Vents d’Ouest, s’avère à mon avis, LE roman de la rentrée en littérature jeunesse, pour ne pas dire en littérature tout court.»

Valérie Lessard
Le Droit, 18 septembre 2000



Ainsi soit Allard et cie


« Quand un enfant lui demande si «c’est grave de faire des fautes d’orthographe», Francine Allard lui répond que c’est comme si Jacques Villeneuve ne savait pas comment fonctionne sa voiture. Par ailleurs, très peu pour elle les romans miroirs où les jeunes voient reflétés les seuls aspects sombres de leur réalité. Elle tient à inventer des fins heureuses car, selon elle, les jeunes ont besoin d’espoir.(…) Plutôt vois dire que Mon père, ce salaud est un roman à l’écriture soignée que j’ai lu d’une traite!»

Claire Varin
Le Quoi?, 17 octobre 2000



Les mains si blanches de Pye Chang


«Écrit sans aucune autre prétention que celle d’amuser mais avec un vivifiant sens de l’auto dérision, le roman de Francine Allard se laisse lire aussi aisément… qu’un polar justement, et offre un portrait plus vrai que nature du centre-ville de Montréal, avec ses ethniques, ses sans-abris et sa banalité sympathique»

Stanley Péan
Le Libraire, novembre 2000



Mon père, ce salaud


« Un livre qui raconte bien les sentiments et les questionnements d’un jeune qui cherche des repères dans sa vie pour mieux avancer. On ne fait pas de détour, on ne fait pas dans le gnan-gnan. Intelligent. Le lecteur est même un peu déstabilisé. Il est rare que des livres abordent des thèmes touchant la famille, la drogue et les amours de cette façon. »

Nadine Deschesneaux
Cyberpresse, 12 décembre 2000



Les mains si blanches de Pye Chang


« Écrit avec un humour décapant, ce roman nous entraîne dans un univers à la fois familier et déroutant. La fin, totalement imprévue, joue au bon tour au lecteur. Bref, un très bon roman de suspense qui se lit sans complexes.»

Isabelle Pouliot
Cyberpresse, 19 décembre 2000



Des monstres au grand cœur


« Ce qui est éminemment sympathique dans Mon père ce salaud, et qui est bien développé, c’est le personnage de la grand-mère qui a recueilli l’enfant et l’a élevé. Une vision positive et charmante d’une vieille dame obèse perçue avec tendresse par son ado de petit-fils. Très bien rendue et crédible. Ça change des accusations à l’emporte-pièce contre les adultes de tout acabit qui peuplent les romans destinés aux adolescents. Une vision qui dépasse les stéréotypes et laisse des traces positives. Un grand cœur comme on rêve d’en connaître.

Gisèle Des Roches
Le Devoir, 12 novembre 2000



Francine Allard, une femme de cœur et d’opinion


Reportage

Marie-Ève Bouchard
Week-end Outaouais, 9 septembre 2000


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